A ce jour, seules les communes situées dans une agglomération de plus en plus de 50 000 habitants peuvent taxer les logements vacants.
Ce critère sera supprimé et cette possibilité ouverte aux communes marquées par un niveau élevé de loyers et de prix de vente dans l’ancien, ou par une large proportion de résidences secondaires.
5000 communes seraient concernées (contre 1 140 actuellement).
Les communes auront jusqu’au 28 février 2023 pour décider d’instaurer la taxe, qui s’appliquera directement après un an de vacances volontaires. Enfin, le taux de la taxe passera l’an prochain, à 17% lors de la première année, et de 25% à 34% les années suivantes.